JE DIS | dr-jonas-jolivert-1
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UNE ARME REDOUTABLE...MON EXUTOIRE

Aujourd’hui, je suis en mesure de dire que je comprends mieux ceux qui ont choisi d’écrire pour survire ou bien vivre.

On vit. On voit. On observe.

On pense.  On opine

On rit. On rage. On sanglote

On a envie de hurler, de réagir, de tout péter, de débuter une nouvelle et dernière révolution en solitaire.

On lève la tête.

Autour de nous la terre tourne et les gens bougent.

Il y en a qui rigole, il y en a qui s’embrasse…

Il y en a même qui sont heureux

On se frotte les yeux….

On ne rêve pas…

Leur monde n’est définitivement pas le mien.

Leur conformisme me déplaît et me dégoûte

Si je crie personne ne m’écoutera…

Ou mieux encore beaucoup de gens me regarderont du coin de l’œil et se diront : encore un autre !

Mais la révolution, la dernière ; ma révolution individuelle et personnelle est définitivement un dernier recours.

Donc on l’entame seul.

Avec la ferme conviction que d’autres suivront.

Donc on écrit, on poste et on publie.

Si les arguments ne sont pas assez forts pour rameuter des gens, on continue à écrire. D’autres arguments viendront.

De toutes les façons on a réfléchi sur un problème particulier. Après des analyses objectives et infaillibles des pistes de solutions sont proposées.

Tant pis si personne ne les cueille au vol pour les appliquer.

Moi comme citoyen j’aurai joué ma partition.

Et comme les paroles s'nvont et que les seules les écritures restent...

Parce que j’écris donc je suis.

Dans cette rubrique j'afficherai mes coups de coeur et mes coups de gueule. Des réflexions postées à des moments particuliers de la vie d'Haïti .

Certaines sont assez anciennes et ont été lues par plusieurs personnes ; mais la révolution n'a pas eu lieu

Merci et bonne lecture!

C'EST A VOUS! VOTRE OPINION M'INTERESSE!

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